Pour prévenir et guérir la Malaria: les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie?

Première partie. Malaria : le Catalogue du Génocide Pharmacratique

Sans vouloir nous appesantir sur ce sujet, car là n’est pas l’objectif, précisons, nonobstant et fondamentalement, que le syndrome de la Malaria existe, surtout, de par le fait qu’une bonne partie de l’humanité est privée des conditions sanitaires les plus primordiales, pour ne pas parler d’une absence d’accès primaire à de l’eau potable digne de ce nom – et pour ne pas parler, non plus, d’un effondrement total du système immunitaire généré par la synergie entre une foultitude de toxiques, en tous genres, déversés dans le corps humain et dans le corps de la Biosphère. J’ai eu le plaisir de contrebander, pendant une vingtaine d’années, une pléthore de semences de Vie dans de nombreux pays tropicaux, de divers continents – et où parfois les guérillas sévissaient à portée de vol de papillon – et il est clair que certaines conditions sanitaires feraient s’évanouir une bonne partie de la classe moyenne bien emmitouflée dans ses croyances dans le Progrès.

Le scandale du non-accès, de milliards d’êtres humains, à un assainissement et à de l’eau potable vient du fait que 99% des ressources planétaires sont dans la main avide d’une poignée d’individus voleurs, et menteurs, terrés dans les paradis fiscaux – en grande partie des mâles obsédés de la Bourse et refoulés des bourses. Ce non-accès dramatique vient, également, du fait que chaque année, des trillions de dollars et d’euros d’argent public sont dépensés/divergés pour les guerres provoquées par les mêmes, pour les armements, pour les colossales subventions aux multinationales, pour armer des mouvements de déstabilisation, etc, etc… Et, bien sûr, pour “renflouer” les banques, les multinationales de l’automobile, des assurances et tutti quanti… Et flouer les citoyens en les faisant même voter au nom de démocraties qui n’ont jamais, intrinsèquement, existé de par le fait que leurs “concepteurs” (à savoir le complexe bancaire et militaro-industriel) ont omis d’y inclure le paramètre essentiel de la transparence – du moins la transparence pour eux-mêmes, les Autorités auto-proclamées – en cette époque d’espionnage systématique et de bafouement de la liberté des peuples au nom de la lutte contre un terrorisme que ces Autorités ont elles-mêmes fabriqué de toutes pièces. Continue reading “Pour prévenir et guérir la Malaria: les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie?”

Les Multinationales des Nécro-technologies à l’assaut des Semenciers Industriels Africains

L’Association Kokopelli vient de publier une analyse encore plus complète des Catalogues Nationaux du GNIS, en particulier en ce qui concerne les espèces de grande culture (Maïs, Orge, Soja, Tournesol, Blé et Colza) afin de mettre en valeur que seules quelques multinationales des nécro-technologies contrôlent la quasi-totalité des variétés (ou clones) inscrites dans ces catalogues. (1) Le quatrième semencier du monde, Limagrain, est en première position, dans les Catalogues Français, pour la plupart des espèces potagères et pour quelques espèces de grande culture, dont le maïs et l’orge. Ce sont, ainsi, quatre groupes qui contrôlent 60% des 1425 variétés F1 de maïs – enregistrées dans le catalogue du GNIS – dont Limagrain, Monsanto et Syngenta. Alors que nous commencions à faire circuler cette analyse, Vandana Shiva nous fit parvenir l’alerte sonnée par certaines alliances Africaines qui s’insurgent contre une nouvelle vague de rachat de semenciers Africains par les-dites multinationales, à savoir Limagrain, Monsanto, Syngenta et DuPont (Pioneer Hi-Bred).

Avant de passer en revue les derniers épisodes de cette nouvelle offensive à l’encontre de l’autonomie Africaine, il nous parait important de bien souligner que les multinationales de la semence et de l’agrochimie n’ont pas attendu de racheter les semenciers industriels Africains pour envahir le continent avec leurs technologies biocidaires. Rappelons qu’en 2004, par exemple, au Sénégal, alors que l’Association Kokopelli oeuvrait depuis plusieurs années afin de disséminer des semences de Vie et que nous tentions de briser les inerties locales (et les routines bien confortables de certaines ONGs) afin d’installer une banque de semences dans la région de Guédé, près du Fleuve Sénégal, nous avons été les témoins de la distribution de sacs de semences de maïs, par le gouvernement, qui ne portaient aucune mention d’origine, aucun nom de variété… Ces maïs croissaient fort bien mais sans produire d’épis! Il s’avéra que les paysans Sénégalais étaient vraisemblablement les cobayes, à leur insu, d’expérimentations avec des variétés de maïs transgéniques de Monsanto – variétés qualifiées subséquemment de thermo-réactives par des groupes de paysans de l’Inde qui en furent également les victimes. Continue reading “Les Multinationales des Nécro-technologies à l’assaut des Semenciers Industriels Africains”

Les Maïs pour l’Afrique du CIMMYT: Mythe ou Réalité?

Je conçois que la lecture d’un tel dossier puisse s’avérer quelque peu laborieuse et déprimante. Mais c’est la triste réalité qui prévaut actuellement en Afrique. Cet article présente 120 liens qui renvoient, la plupart du temps, vers les informations communiquées par l’ennemi. Car c’est bien des ennemis de l’Afrique – et de toute l’humanité – qu’il s’agit. Ils ont lancé une guerre inexorable à la Vie et ils iront jusqu’au bout de leur folie meurtrière. 

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Pas de bol : les riz chimériques sont de retour!

Avertissement. Dans ce présent article, plutôt que le terme “OGM”, j’adopte le terme “chimère” (87) amplement utilisé, depuis de très nombreuses années, par Jean-Pierre Berlan, ancien directeur de recherches à l’INRA, et par Richard Lewontin, professeur de génétique à l’Université de Harvard; et j’ai recours, également, aux néologismes qui en découlent naturellement: “chimérique” (au lieu de transgénique), “chimériste” et “chimérisation”. Tout comme j’ai osé le terme “nécro-carburant”, au printemps 2007 (88), dans ce même esprit d’authenticité sémantique,  j’utilise actuellement les termes “nécro-technologie” (au lieu de bio-technologie), “nécro-technologique”, “nécro-techs”, “nécrofortifié”, etc, afin de tenter de limiter, autant que faire se peut, la corruption du langage agricole évoquée par Jean-Pierre. 

«Les mots contribuent à définir la réalité. Lorsque des intérêts considérables sont en jeu, ils sont rarement neutres et objectifs. Ils créent plutôt la confusion, égarent la réflexion, empêchent de penser la réalité. Les utiliser sans les passer au feu de la critique, c’est faire preuve du même discernement que les lévriers lancés à la poursuite d’un leurre en peau de lapin. Les organismes génétiquement modifiés ou OGM illustrent cette corruption du langage : ce sont, en réalité, des clones chimériques brevetés (CCB). Un clone – à distinguer d’un individu ou d’une plante clonée – est une population d’organismes génétiquement identiques. Les « variétés » modernes de blé, d’orge, de colza, de maïs, de tomates, etc., sont constituées de plantes (ou de génotypes) identiques ou presque. Ce sont des clones»Jean-Pierre Berlan.

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La loi Biodiversité de juillet 2016: un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture?

 

Résumé: Le 2 août, suite à mon communiqué sur les tomates de Syngenta/Chingenta chez Réseau Biocoop, je fus alerté par un courrier de lecteur et ami de Kokopelli qui évoquait les mouches : tout autant les vers de mouches que l’on peut éliminer avec la Tulsi – le basilic sacré que j’ai présenté dans un article récent – que les mouches transgéniques/chimériques d’Oxitec, une société très intime avec Syngenta.

Lorsque, le 4 août, le Conseil Constitutionnel a modifié la loi dite de Biodiversité, il m’est apparu très clairement que l’interdiction, à terme, des néonicotinoïdes, qu’elle inclut, n’est vraisemblablement qu’un gigantesque coup fourré pour faire avaler et avaliser les mouches chimériques par les consommateurs – trop contents de s’être débarrassés d’insecticides mortels épandus sur leurs fruits et légumes.

En effet, l’interdiction, tant acclamée, de ces insecticides parmi les plus toxiques, à savoir les néonicotinoïdes, par cette nouvelle loi biodiversité de juillet 2016, ne cacherait-elle pas quelque chose d’encore plus biocidaire? Les Autorités, sous couvert de protection sanitaire du public – sans commentaires – ne seraient-elles pas en train de préparer une vaste introduction de mouches, et autres insectes, chimériques dans l’agriculture?

Il y a fort à penser que l’interdiction des néonicotinoïdes ne constitue qu’un gigantesque écran de fumée – se parant d’une respectabilité écologique – pour faire gober, aux Peuples, les mouches chimériques des amis de Monsanto/Bayer et de Syngenta/ChinaChem. D’autant plus que le nouvel épouvantail des Autorités, le virus Zika, ne pourrait être contrôlé, selon les grandes déclarations des multinationales criminelles de la Pharmacratie, que grâce aux moustiques chimériques d’Oxitec – alors que des soupçons plus que légitimes se font jour quant aux moustiques mutants d’Oxitec qui ont survécu, au fil des années, (et jusque 15 % des populations de moustiques de par le fait que la biosphère est contaminée par de très grandes quantités de l’antibiotique tétracycline) et qui seraient les vecteurs mêmes du virus Zika. Continue reading “La loi Biodiversité de juillet 2016: un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture?”